Catherine Zask :
"Jusque-là j'ai coupé en quatre pour les quatre couches, les quatre lettres de Rome. Ce qui m'intéresse en fait, ce sont les temps du tracé. Donc pour un R, trois temps. Un trait, une boucle, un trait. Je prends un R. Je tranche les trois temps. Je les colle sur trois feuilles. J'obtiens enfin une tension, quelque chose qui me fait penser à une respiration. Trois morceaux qui visiblement sont liés, et dont la fraction produit comme une respiration entrecoupée. Trancher les temps au cutter est radical."
Catherine Zask :
"D'autres R, écrits sur une seule couche et coupés en quatre, sont utilisés pour recomposer des signes. Mais, d'une part, je ne parviens pas à trouver un sens à ce que je fais, et d'autre part, je suis exaspérée par la séduction facile des bavures de l'encre… En même temps, l'encre est très pratique parce que ça va très vite."
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